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 cassie -- you say 'witch' like it's a bad thing

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Message# Sujet: cassie -- you say 'witch' like it's a bad thingcassie -- you say 'witch' like it's a bad thing EmptyVen 8 Nov 2019 - 22:13

Cassandre "Cassie" Wang
Herboriste
Née Non-Maj
Sino-Américaine
image avatar01
american wizard identity card.
nom : wang, les rois déchus. car, il fallait qu’elle pointe le bout de son nez, cette fichue révolution, qu’elle les pousse à l’exil sur des terres inconnues, qu’elle amorce leur douloureuse disgrâce et les déshonore les uns après les autres. le nom de sa mère, prononcé avec une mélancolie légère dans la voix en l’attente du printemps. et, son père, quel était le nom de son père, déjà ? peut-être était-ce gardner ou jenkins. à moins qu’il ne s’agisse de maxwell. oui, ça sonne bien maxwell. prénom(s) : cassandre, c’est joli cassandre, mais c’est vraiment pas facile à prononcer. ça dérape dans la bouche des américains, ça reste bloqué sur le bout de leur langue et ça les agace, leurs bras se repliant brutalement sur leur poitrine. alors, elle devient cassie aux yeux de tous, cass pour les plus fainéants et un sourire se dessine enfin sur leurs lèvres satisfaites. naissance : un beau soir d’été, le 16 juillet 1992, dans un hôpital miteux du Bronx. c’est pas comme s’ils roulaient sur l’or à l’époque, mais ils s’aimaient et c’est tout ce qui compte. ascendance : née non-maj et il n’y a bien que son oncle qui la regardait de travers. la tête dans les nuages, il trouvait la gamine adorable avec ses histoires abracadabrantes, ses rêves insensés et ses aptitudes extraordinaires. puis, en grandissant, ce qu’elle racontait n’avait plus vraiment de sens. elle était toujours la même, sensible et souriante, mais bon sang, c’était quoi cette université de marioles ? ils avaient besoin d’elle ici, sa mère, son frère et lui. elle allait quand même pas les quitter pour cette vaste plaisanterie, si ? nationalité : américaine de son père, cet homme de guerre sensible et préoccupé par l’avenir de son puissant pays. chinoise de sa mère, cette femme extravagante et énergétique à la tête d’un petit restaurant à la dérive. origine(s) : personne ne parle jamais des immondices de la guerre à table, ni des précieux bracelets de jade qui ornent leur poignet, les rumeurs disent que les wang sont les descendants de la famille impériale chinoise, celle qui a en partie succombé aux révoltes populaires. et, il y a les maxwell, de braves agriculteurs américains qui cultivent le maïs et le blé, des hommes bienveillants et des femmes enjouées. chez eux, pas de cachotterie. enfin, à ce qu’il paraît. occupation : herboriste, habituée aux heures supplémentaires pendant que le vieillard somnole paisiblement dans l’arrière-boutique. elle aurait pu devenir guérisseuse, mais le petit frère pouvait pas s’empêcher de jouer avec le feu. et, cette fois, sa gueule d’ange n’avait pas aidé. alors, elle a renoncé à sa dernière année d’études, pression familiale oblige, pour trouver un gagne-pain et sortir cet imbécile de taule. cette tourmente-là, elle l'avait vraiment pas vu venir. statut financier : issue de la classe moyenne américaine, celle qui travaille d’arrache pied pour subsister, celle qui a la fâcheuse tendance à se serrer la ceinture à la fin du mois. des années passées en cuisine, entre mets délicieux et assiettes sales, il fallait bien que quelqu’un renfloue momentanément les caisses du restaurant familial. statut civil : libre comme l’air. une belle excuse pour ne pas lui avouer ses sentiments. il n’a jamais rien compris à l’amour de toute façon. orientation sexuelle : ce sont les hommes qui font rougir ses joues, frissonner son échine et chavirer son coeur. puis, ce sont eux qui l’abandonnent lorsqu’ils réalisent qu’elle murmure le nom d’un autre dans son sommeil, rêvant de son sourire espiègle et sa peau hâlée s à lui. particularité : voyante et c’en est presque ironique pour qui s’y connait en mythologie grecque. ça n’avait l’air de rien au début, elle prenait place aux côtés de sa grand-mère, l’observait boire son thé paisiblement, une couverture douillette sur les genoux. une fois la boisson chaude savourée, elle lui parlait des esquisses au fond de sa tasse, des cerfs-volants qui invitaient à la prudence, des flèches qui signifiaient le désaccord ou des mains qui représentaient l’amitié. mais, quand le tour de cassie venait, les feuilles se mettaient à danser, comme pour lui raconter une histoire, comme pour lui parler de l’avenir.  groupe : le quartier des lunes.
american wizard fingerprints.
[chopsticks] ━ c’est super pratique une baguette, sauf quand il s’agit de manger des nouilles. dans ce cas, mieux vaut en avoir une seconde. mais, c’était déjà pas facile de s’en offrir une, alors deux. et, le bureau du permis de baguettes rigole pas du tout avec ça, c’est une arme ce truc. la sienne, elle l’a acheté d’occasion dans la coquette boutique de thiago quintana. elle est tombée dessus un peu par hasard, sa mère ne savait plus trop où donner de la tête depuis que sa fille avait reçu sa lettre. puis, elle l’a choisie, la baguette, pas elle, en bois d’oranger, d’environ 35 centimètres, son coeur renfermant une épine de monstre du fleuve blanc. malgré son élégance, elle est plutôt rigide, ce qui a tendance à ennuyer cassie, mais ça fait tellement longtemps que ça serait vraiment étrange de la remplacer maintenant.

[golden cat] ━ à l'entrée du restaurant, un chat doré salue gaiement les clients de sa patte mécanique. ça amuse les enfants et ça porte bonheur d'après les croyances familiales, mais c'est vrai que ça rend un peu fou. comme le patronus de cassie, un singe aux bras longs. les experts constateront qu’il s’agit d’un gibbon, espiègle et joueur, pour ne pas dire quelque peu insensé. et, c’est pour cette raison qu’elle évite de s'attirer des ennuis.

[spring rolls] ━ s’il y a bien quelque chose de meilleur que les rouleaux de printemps, c’est la manière dont son coeur s’emballe lorsqu’elle croise son regard, embrasse sa joue ou se retrouve accidentellement devant une potion d’amortentia, c’est bien aussi. moins de problèmes et les mêmes effets. de douces essences de gingembre et de citronnelle, de puissants arômes de café et enfin, son eau de cologne à lui.

[great wall] ━ c’était un accident, promis. il voulait simplement vérifier si elle était une sorcière comme dans les films. si sa soeur pouvait se sortir de là par magie. et, le voilà qui referme brusquement la porte derrière lui. le cliquetis d’un verrou et cassie se retrouve prise au piège. il fait noir et elle a peur. elle suffoque entre ces quatre murs, incapable de crier à l’aide, c’est la crise de panique assurée. elle s’effondre sur le sol humide de la cave. si seulement il s’agissait d’un épouvantard, elle pourrait lui faire face, elle pourrait sortir d’ici. ou peut-être pas, sûrement pas.

[mystic knot] ━ elle a toujours le sourire aux lèvres, cassie. une agréable brise d’été dans la vie monotone de ses proches, une rude tempête lorsqu’ils la contrarient. parce qu’elle a la fâcheuse habitude de tout prendre un peu trop à coeur, la guérison de sa grand-mère, l’éducation de son frère, le bonheur de sa mère. mais, c’est plus de la bienveillance ça, c’est de la naïveté. elle est rêveuse, aussi, son menton reposant dans ses mains pendant qu’elle se perd dans ses pensées. pourtant, une énergie sans limite l’anime au moment de trouver un remède à la dernière épidémie de rhume magique. parce qu’elle veut bien faire, parce qu’elle est curieuse, parce qu’elle veut aider. si douce, si sensible et tellement bavarde, surtout lorsqu’il n’est pas question de ses sentiments. elle intrigue autant qu’elle épuise, brillante et anti-conformiste.
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Message# Sujet: Re: cassie -- you say 'witch' like it's a bad thingcassie -- you say 'witch' like it's a bad thing EmptyDim 10 Nov 2019 - 13:33

Once upon a time, somewhere between here and elsewhere ...
[mei] ━ Elle se tient devant les escaliers poussiéreux de l'appartement familial, le coeur léger. Quatre à quatre, elle grimpe les marches jusqu'au palier et frappe à la porte déjà entrouverte. Son oncle l'a probablement mal refermée en allant au restaurant ce matin. Sale habitude.
« - Bonjour maman ! 
- Cassie, c’est toi ? Je ne savais pas que tu rentrais ce week-end. Tu as faim ?  
- Je viens tout juste de déjeuner. l’informe-t-elle alors que sa mère s’affaire déjà en cuisine. Je voulais simplement voir grand-mère. 
- T’es toute maigrichonne Cassie ! C’est pour ça qu’il ne s’intéresse pas à toi ! Je vais te faire à manger et tu verras, dans quelques mois il te passera la bague au doigt.
- Attends ! De qui tu parles là ? lui demande-t-elle, surprise.
- Oh, joue pas à ça avec moi ! Tu sais très bien de qui je parle, avec tes yeux de merlan frit dès qu’il entre dans la pièce. »
Elle tente une piètre imitation de sa fille, une moue boudeuse étirant ses traits et sa cuillère en bois s’agitant dans tous les sens. Hilare, Cassie ne peut pas s’empêcher de se joindre à elle. Pendant quelques instants, la salle à manger devient leur scène de théâtre, enchaînant les tirades sans queue ni tête et les danses improvisées. Tournoyant sur elle-même, sa mère heurte malencontreusement le sac en cuir de la sorcière, quelques fioles colorées glissant sur le parquet.
« - C’est quoi ce bazar ? Tu te drogues, Cassie ?
- Dis pas n’importe quoi ! C’est pour une patiente. se justifie-t-elle rapidement.
- Et ta patiente, ça serait pas grand-mère Qin par hasard ? rouspète sa mère, les poings sur les hanches. On avait bien dit qu’on ne voulait pas de ça ici.
- Tout ne se guérit pas avec du baume du tigre, maman ! »
Soudain, une porte s’entrouvre dans un grincement désagréable. Titubante, la grand-mère de Cassie fait son apparition. Tout le monde retient son souffle. Des mois qu’elle n’était pas sortie de son lit, trop malade, trop faible. Elles devaient toutes deux divaguer.
« - Laisse donc ta fille tranquille Mei. C’est moi qui lui ai demandé de venir. lui fait savoir la vieille femme. Viens ma petite. poursuit-elle en tendant une main ridée dans sa direction. À ce rythme là, je pourrais bientôt retourner à mes cours de tai-chi. »

[benjamin] ━ Cet endroit, c’est tout ce qu’elle déteste, tout ce qui l’effraie. Et, elle a beau leur expliquer qu’elle peut attendre ici, qu’elle n’a pas besoin de s’approcher, ils ne peuvent pas s’empêcher d’insister. Ce n’est pas tous les jours que l’on peut voir un proche sortir de prison. Ils rient, s’échangent des coups de coudes maladroits, puis une tape ferme sur l’épaule avant de progresser dans un couloir sombre. Elle inspire, expire, aussi calmement que possible, un pas après l’autre. Ses mains tremblotent le long de son corps, s’efforçant, tant bien que mal, de faire l’impasse sur les cellules exiguës qui défilent devant ses yeux.
« - Bah, ça va pas mademoiselle ? s’enquiert l’un des gardiens. Faut pas avoir peur vous savez, ils sont bien enfermés ces vilains garçons.  
- Ça va, merci. se contente-t-elle de répondre, défaisant le premier bouton de son chemiser.
- On y est ! l’informe-t-il en secouant fièrement ses clés. »
Elle grimace, incapable de leur adresser un sourire encourageant tant la peur la paralyse. La première serrure cède, puis la seconde et enfin la dernière. Elle suffoque. Dans l’encadrement de la porte se tient son frère, son portrait bien amoché. Il ne pouvait pas se tenir à l’écart des ennuis pour une fois ?
« - Dépêche-toi. articule-t-elle en se dirigeant précipitamment vers la sortie.
- Cassie, attends ! Est-ce qu’on peut parler ? Est-ce que tu vas bien ? l’interroge-t-il, ses doigts s’agrippant à ceux de sa soeur. Est-ce que grand-mère va bien ?
- T’es sérieux Ben ? C’est maintenant que tu te préoccupes de nous ? lui crache-t-elle au visage, se libérant violemment de son emprise.
- Écoute… J’ai eu le temps de réfléchir. Je veux être là pour vous.  articule-t-il, les larmes aux yeux. Je... Je vais changer. Je te le promets.  
- T’es qu’un gamin, un idiot qui a encore besoin de sa grande soeur pour résoudre ses problèmes. Regarde toi ! Tu déshonores ta famille. »
Et, elle sait qu’elle n’aurait jamais dû dire ça. Elle le comprend à la stupéfaction sur le visage des officiers, la douleur sur celui de son frère. Personne ne s’attendait à assister à des retrouvailles pareilles. Personne à part Cassie, préoccupée par sa tasse de thé.

[tao] ━ Il se racle la gorge pour annoncer sa présence. Toujours un peu maladroit, mais il fait de sérieux efforts pour être plus présent dans sa vie dernièrement. Elle suppose qu’il essaye d’être la figure paternelle qu’il n’a jamais été pour elle.
« - Tu rêvais encore ? la surprend-il en train de regarder par la fenêtre.
- Euh… Oui. Oui, désolée Tao. Je cherchais mon livre de botanique et… commence-t-elle en reprenant lentement ses esprits.
- Tu me fais penser à lui parfois. bredouille-t-il en regardant ses pieds. Ton père. »
Elle s’immobilise aussitôt. Elle n’a plus entendu parler de lui depuis que la police a débarqué chez eux pour leur annoncer qu’il avait perdu la vie dans une embuscade. Mort pour la patrie. Elle n’avait que six ans à l’époque et il fallait aller de l’avant. Parler du passé était une perte de temps pour sa mère.
« - Est-ce que… Est-ce que tu peux me parler de lui ? lui demande-t-elle, incertaine. »
Il acquiesce poliment. Alors, d’un coup de baguette magique, elle arrange les coussins du canapé pour l’inviter à s’asseoir. Il n’aime pas trop lorsqu’elle utilise la magie devant lui, mais retient un commentaire déplacé. Ses paumes posées sur ses genoux, il se rappelle qu’elle est la même. Cassandre, capable de choses incroyables certes, mais loin d’être monstrueuse. Dire qu'il criait « Sorcière ! » à tort et à travers lorsqu'elle essayait de les aider. Pauvre enfant.
« - Il avait souvent la tête dans les nuages, ton père. Ça rendait ta mère dingue d’ailleurs, à claquer des doigts toutes les deux minutes pour le rappeler à l’ordre. Puis, ils en riaient de bon coeur, comme si c’était un jeu. Il était sensible et bienveillant, comme toi. Il se faufilait toujours en cuisine pour récupérer quelques restes et les apporter au foyer du coin de la rue. C'était mieux que tout mettre à la poubelle et il aimait aider les autres, Luke. Il était prêt à tout pour sa famille. C’est d’ailleurs pour ça qu’il est parti à la guerre. Il voulait vous offrir un meilleur avenir à toi et ton frère. On a essayé de le retenir, mais… Il était drôlement têtu. »
Il s’interrompt, une boule lui monte à la gorge. C’est encore difficile de parler de lui, même après toutes ces années. Cassie pose la tête sur l’épaule de son oncle et lui serre la main d’un geste affectueux.  
« - Il me manque Tao.
- Il me manque aussi, tu sais. révèle-t-il tristement. Mais, tu m’as moi maintenant. »

[zadig] ━ Elle ne comprend pas pourquoi il est venu lui rendre visite, comment il a trouvé le courage de se pointer ici. Elle a pourtant été claire, très claire, lors de leur dispute houleuse de la veille. Elle lui a bien dit que c’était fini, qu’elle ne voulait plus le revoir. Il était devenu accro à ce truc et il fallait que ça s’arrête. D’une manière ou d’une autre. Et tant pis, si elle devait souffrir pour ça. Ses mains en appui sur le rebord d’une table du restaurant, il l’observe paisiblement, un sourire sur le bout des lèvres.
« - Qu’est-ce que tu veux Zad ? lâche-t-elle, finalement à contrecoeur.
- Te demander pardon… répond-il aussitôt. J’veux pas m’embrouiller avec toi, Cass. Avec n’importe qui, mais pas avec toi. »
Elle soupire. Ce mec est une énigme pour elle, un affreux casse-tête chinois. Elle le contourne lentement et débarrasse les plats vides qui trônent derrière lui.
« - S’il te plaît, Cass. lui murmure-t-il au creux de l’oreille. »
Elle frémit. Il la rend folle et il le sait. Il ne peut pas ne pas le voir. Mais, elle ne cédera pas, pas cette fois. Elle se retourne vivement pour lui faire face, essayant d’ignorer les battements de son coeur affolé. Sa bouche s’entrouvre, impatiente. Et au moment où elle s’apprête à parler, les bras de Zadig s’enroulent tendrement autour d’elle. C’est trop, beaucoup trop pour Cassie. La chaleur de son corps, son parfum magnétique, son dévouement surprenant. Elle en oublie les raisons de son aigreur, elle en oublie tout, son corps lâchant prise au contact tant désiré. Jusqu’à ce qu’il lui demande tout bas:
« - S’il te plaît, Cass, lis-moi mon avenir une dernière fois. »
comment as-tu connu le forum : cassie -- you say 'witch' like it's a bad thing 2348724232 : ton pseudo/prénom : calliope/laurie. ton âge : comme cassie. ta présence sur le forum : aussi régulière que possible. ton personnage est un : inventé, bébé. crédits avatar / gifs : vocivus (avatar). un dernier petit mot pour la fin ? j'ai très très hâte.  cassie -- you say 'witch' like it's a bad thing 366219209

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